Du fond de ma jeunesse il me souvient avoir pris quelques photos avec un appareil argentique et les avoir développées avec un animateur de club photo. Je me souviens aussi de l’instamatic et du polaroid de mon père. Je me rappel aussi d’un « Instamatic Pocket » qui m’as suivi dans mon adolescence. Et puis plus rien.
Plus rien pendant une quinzaine d’années. Peut être un argentique russe « Zenit » pour la naissance de mes enfants, il n’en reste que les photos. Comme beaucoup en cette période je me rêvais plutôt vidéaste. Mais je me souviens de cliché pris avec un grand angle vidéo visser sur un argentique.
En 1996 je traversais l’atlantique 1 à 2 fois par mois, et pour des besoins professionnels j’ai acheté mon premier numérique, un Sony DSC-F1 avec un capteur de 0,31 mégapixel. J’avais besoin de garder une trace de mon travail, de pouvoir l’envoyer par email et de donner des explications avec des photos. C’était un appareil compact et discret j’ai commencé a ramener des souvenirs, mais rien a voir avec un appareil argentique. Je l’ai remplacé en 2006 par un Sony DSC-H5. Et ensuite il faut bien l’avouer les téléphones mobiles sont devenu le prolongement de nos bras, et un formidable compagnon de voyage. Pour moi l’aventure de la photographie numérique avait bel et bien commencée. Mais je ne m’intéressait pas encore aux techniques photographiques.
En 2008 une de mes deux filles souhaitant faire de la photo, nous lui avons offert un Canon EOS 450D. Au fur et à mesure des empreints sous divers prétextes, dont celui de la qualités des images, j’ai du faire plus de photos avec que ma fille. Mais le virus était inoculé. Je me suis plongé dans le manuel, et j’ai commencé a vouloir maitrisé la bête.
A l’occasion du projet d’un circuit touristique au Rajasthan, je ne souhaitais pas emporter l’appareil de ma fille qui ne m’appartenais pas finalement. Le virus étant bien en place j’ai acheté un Canon EOS 760D avec un EF-S 18-135mm.
Rapidement j’ai acheté un EF 50mm f/1.8 complété par un EF-S 10-18mm d’occasion. J’ai aussi hérité d’objectifs d’un EOS argentique et du EF-S 18-55mm (Modifié pour de la macrophotographie) du 450D.
Enfin j’ai eu l’occasion d’acquérir un EOS 77D et de revendre mon 760D.
Né à Paris en 1960, je suis marseillais depuis 1990. Ingénieur en informatique, j’ai consacré une partie de ma vie professionnel à la téléphonie, à internet et aux technologies numériques.
Nos séjours à l’étranger sont l’occasion de ramener de nombreux souvenirs photographiques et parfois d’un portrait ou d’un paysage dont je suis fier.
La Provence est un formidable terrain de jeux pour les amateurs de randonnées, et ma femme et moi aimons particulièrement le sentier du littoral de la Camargue jusque Toulon sans négliger le reste de notre belle région.
Les confinements ayant pour moi un avant gout de ma future retraite, je consacre maintenant une partie non négligeable de mes loisir à la photographie et au partage de mes connaissances et photos.
Depuis quelques mois je me suis lancé un nouveau défis, construire un mini home studio pour ma retraite. Vous trouvez mes nouvelles pages ici.
Contrairement aux idées reçues et n’en déplaise à certains qui se comparent à des artistes peintre, la photographie n’est pas « peindre avec la lumière ». La photographie c’est utiliser un appareil qui permet d’écrire, de graver la lumière ou son absence, sur une surface sensible. Un photographe peut être un artiste, mais ce n’est pas obligatoire. La photographie est une technique et le photographe un technicien. Je ne revendique ni le titre d’artiste ni celui de professionnel. Je suis un photographe amateur et de ce fait je ne maitrise pas forcement toutes les techniques photographiques. Mais c’est pour moi une occupation, un hobby, une passion.